Nouvelles

2018 Canadian Bone and Joint Conference

Conférence nationale de la recherche musculo-squelettique:
2018 Canadian Bone and Joint Conference
London, Ontario May 11 & 12.
Western University’s Bone and Joint Institute in partnership with the Canadian MSK Rehab Research Network
Affiche pour la conférence 2018 Canadian Bone and Joint Conference


Préconférence: Canadian Bone and Joint Young Investigator Forum on May 10, 2018, un événement organisé par des étudiants pour des étudiants.
Affiche pour la préconférence Young Investigator Forum

Date limite pour les abrégés: 17 mars 2018, le portail de soumission sera en ligne sous peu.


Pour plus d'information : http://boneandjoint.uwo.ca/events/cbjc

21e Convention Industrielle sur la Microencapsulation

La 21ème convention Industrielle de Microencasulation, organisée par le Groupe de Recherche sur la Bioencapsulation, se tiendra à Montréal, QC, Canada du 21 au 24 mai 2018 (http://bioencapsulation.net/2018-Montreal-Microencapsulation-Industrial-Convention). Vous êtes invité à assister à cette conférence enrichissante qui regroupe environ 90 entreprises et 20 exposants.

Téléchargez la lettre d'invitation.

 

 

Nouvelles capsules des Fonds de recherche du Québec : Révolutionner la greffe de rein grâce à l’intelligence artificielle

Découvrez cette capsule sur le site du FRQS

Les Québécois en attente d’une greffe de rein doivent s’armer de patience : il faut en moyenne 641 jours avant que Transplant Québec puisse leur offrir ce précieux organe. Et encore faut-il recevoir un bon rein! Certains greffons provenant de donneurs décédés risquent en effet de fonctionner moins longtemps que d’autres, notamment à cause de l’âge et de l’état de santé du donneur.

 Les Québécois en attente d’une greffe de rein doivent s’armer de patience : il faut en moyenne 641 jours avant que Transplant Québec puisse leur offrir ce précieux organe. Et encore faut-il recevoir un bon rein! Certains greffons provenant de donneurs décédés risquent en effet de fonctionner moins longtemps que d’autres, notamment à cause de l’âge et de l’état de santé du donneur. Faut-il refuser ces organes et rester sur la liste d’attente? Pas nécessairement, puisqu’ils représentent une bonne solution de rechange à la dialyse pour certains receveurs. Par exemple, un homme de 75 ans pourrait avoir avantage à accepter un rein plus à risque provenant d’un donneur âgé souffrant d’hypertension, au lieu d’espérer indéfiniment celui d’un jeune homme en pleine forme. Selon Héloïse Cardinal, néphrologue-transplantologue, chercheuse au Centre de recherche du CHUM et professeure à l’Université de Montréal, il faut tenir compte des caractéristiques du donneur, mais aussi de celles du receveur – l’âge, la quantité d’anticorps, le temps passé en dialyse – qui influent sur la réussite de la greffe.